…nnée ». Il n’en faudrait pas beaucoup pour que l’on salue le bilan de Jean-Claude Gaudin. Arrivé à quai, je m’étonne : des transats, des tapis posés à terre et des barrières pour délimiter l’espace, vigile en embuscade. Avec des amis, nous prenons notre pique-nique. Je suis stupéfait d’être parqué ainsi. J’y vois une métaphore : une fois de plus, le public est déconnecté de la ville. Je suis dans une réserve d’Indiens et le projet culturel de Sark…
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…r le biais de la vidéo à toute sa place. Comme si on ouvrait des dossiers, Claude Bardouil apparaît alors, le corps nu, la tête cachée. Il est lui, il est elle, il est nous. Il est l’avatar que chaque personne détient, le personnage virtuel d’internet. Il se décline, il est un et plusieurs. Son “Rester vivant” de Michel Houellebecq résonne à son personnage. Nos sommes alors dans la nébuleuse internet, où tout un chacun peut être autre, où moi je s…
…de communiquer, mais en vain (On est loin de« Trois Générations » de Jean-Claude Galotta). Tout est cloisonné, les paroles sont isolées de leur contexte (seule la Télévision sait faire aussi bien !), voire disqualifiées (la réponse d’Olivier Py est ridiculisée). Un chien sur le plateau fait diversion et amuse un public manifestement désemparé pour en rire! Non content de s’en tenir à cette première relecture des « terriens », Rambert nous remet l…
L'arrivée de Frédéric Flamand à Marseille à la suite de Marie ? Claude Pietragalla était une ouverture intéressante pour que je m'intéresse à ce chorégraphe. À l'automne dernier, j'ai subi « La Cité Radieuse » dans un contexte défavorable pour porter un regard distancié sur la ville de Marseille (grève dans les transports). La présence de Flamand au Festival de Marseille pour « Métapolis II » est donc une occasion de l'ap…
…e retard (du moins sur ce point!). Pour le reste de la programmation, Jean-Claude Galotta devrait nous enchanter avec « Des gens qui dansent », Frederic Flamand nous revenir avec « Metapolis II » présenté actuellement au Festival de Marseille (critique dans les prochains jours). Quant à Maguy Marin, elle devrait continuer à nous énerver avec « Umwelt ». Quelques curiosités au milieu de ces grands noms…Thierry Baë, présent au Festival d’Avignon ave…
…rculaires, attachements, détachements, relliance. Comme pour « Icare » de Claude Brumachon présenté aux Hivernales en février dernier, je suis sidéré par cette danse porteuse d'un nouveau langage. Russel Maliphant cohabite dorénavant avec “Icare” dans la mémoire du Tadorne. Les liens se complexifient…La danse est décidement un art majeur. A lire, “l’After / Before” du spectacle! Les dates de la tournée. Pour réagir, cliquez ci-dessous sur “a…
…ont donnés de la transmission une définition plus complexe : « Icare » de Claude Brumachon, « Soli » de La Compagnie de Susan Buirge et « Le chemin se fait en marchant » de Claire Heggen. Ces trois artistes transmettaient bien plus qu'un savoir-faire ! Parce que leur danse etait conceptuelle, en lien, intemporelle, la transmission s'éloignait des modalités habituelles de l'enseignement vertical. La forme de leur transmission (deux…
Après l’intimité d’ «Icare» de Claude Brumachon, rendez-vous nous est donné par les « Hivernales » à l’Opéra – Théâtre d’Avignon pour « Transmissions » par le CCN Ballet de Lorraine. Didier Deschamps, Directeur du Ballet, a-t-il bien compris la commande du Festival? On peut sérieusement en douter. 6 moments de danse nous sont proposés où ce côtoient les trop rapides chorégraphies d’Isadora Duncan et Martha Graham, l’antiquité poussiéreuse de Geor…
…Marseille Objectif Danse », j'assiste à 21h à la chorégraphie de Jean-Claude Sanchez, « Le rêve de Jane ». Après « Le parlafon » de François Bouteau, le changement d'univers est radical. Point de vidéo, ni de balafon poussif sur scène. Juste une danseuse qui nous parle brésilien tenant avec elle un sac de sport (là où les occidentaux traîneraient des valises !), une chaise d'école près du mur, une nappe en plastique posée au sol et…
…de communiquer, mais en vain (On est loin de« Trois Générations » de Jean-Claude Galotta). Tout est cloisonné, les paroles sont isolées de leur contexte (seule la Télévision sait faire aussi bien !), voire disqualifiées (la réponse d’Olivier Py est ridiculisée). Un chien sur le plateau fait diversion et amuse un public manifestement désemparé pour en rire! Non content de s’en tenir à cette première relecture des « terriens », Rambert nous remet l…