Depuis le début, le Festival d’Avignon 2015 fait vivre de nombreuses déceptions aux contributeurs du Tadorne : d’une façon générale et à quelques rares exceptions près (Krystian Lupa, Tiago Rodriguez), le Festival ne se montre ni à la hauteur des enjeux du monde contemporain, ni en mesure de développer des esthétiques fortes, originales, à même de marquer nos sensibilités.
Au moment de réserver pour « Forbidden di sporgersi » de Pierre Meunier et Marguerite Bordat… lire la suite