Belle tentative que d’essayer de mettre le doigt là où ça fait mal à l’adolescence. « Le chagrin des ogres » de Fabrice Murgia s’appuie fortement (trop?) sur la technologie pour tenter de nous faire entendre (de nous rappeler) le bruit et la fureur de cet âge « cruel ».
Autopsie d’un passage où l’on doit lâcher hier pour aller vers un ailleurs dont on ne perçoit, à ce moment, que le tonitruant bruit d’un renoncement de soi. L’enfance est là abîmée, ensanglantée, à… lire la suite
« Le sujet à vif » m’ennuie. Nichée au coeur du Festival d’Avignon, cette programmation a longtemps étonné. Depuis trois années, elle déroute comme si le schéma de « commande passée à » produisait un « entre soi », des formes narcissiques où l’on se regarde à défaut d’ouvrir le regard vers un ailleurs.
Je ne m’attarderais pas trop sur le programme D où se succèdent les commandes passées à Christophe Fiat et Foofwa d’Imobolité. Dans le premier cas, Laurent Sauvage, guitare en bandoulière, nous conte l’histoire de… lire la suite
Avec « Big Bang », Monsieur Philippe Quesne est doué pour l’art du rien et du tout à la fois.
Monsieur Philippe Quesne est peu loquace, mais il arrive à dire beaucoup de choses avec juste un… lire la suite