C’est mon dernier spectacle au Festival d’Avignon. C’est au Off. Un désir de clôturer, non dans l’allégresse, mais là où je fus traversé pendant tout ce mois de juillet: le corps comme langage, porteur de sa propre dramaturgie. Il y a eu celui de la douleur du monde, du cri à l’intérieur de soi, de l’Espagnole Angélica Liddell dans « La casa de la Fuerza» présenté au «In». Inoubliable. Parce que nous sommes à Avignon, il y a l’expression «faire la pute », de plus en plus répandue… lire la suite